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terça-feira, maio 15, 2007

Do Alfarrabista

Da LIBRAIRIE MINI-PRIX INC. (LAVAL, PQ, Canada), chegaram os dois volumes biográficos da Condessa de Paris. Dadas as relações com a Casa de Bragança, encontram-se muitas referências a Portugal, principalmente no segundo volume. Uma vida plena de alegrias e tristezas, onde Portugal funcionou sempre como um refugio. [mj]
Isabelle d'Orléans et Bragance fut l'épouse du prétendant orléaniste au trône de France de 1940 à 1999. En tant que telle elle portait le titre de courtoisie « comtesse de Paris » qui, comme pour son époux, figurait sur sa carte d'identité.
Elle est née à Eu (Seine-Maritime), le 13 août 1911, et décédée à Paris (16e arrondissement) le 5 juillet 2003. Son état civil complet était Isabelle Marie Amélie Louise Victoire Thérèse Jeanne d’Orléans et Bragance. Elle fut baptisée à Eu le 15 août 1911, avec pour parrain et marraine ses grands-parents paternels, Gaston d'Orléans (1842-1922), comte d'Eu et Isabelle de Bragance, princesse héritière du Brésil (1846-1921).
Isabelle d'Orléans et Bragance était la fille aînée de Pierre d'Orléans-Bragance (1875-1940) et de son épouse, née comtesse Elisabeth Dobrzensky von Dobrzenicz (1875-1951).
En 1931 elle épousa son cousin le prince Henri d'Orléans (1908-1999), comte de Paris. Elle s'attacha à aider son époux dans sa volonté de rendre le parti orléaniste plus proche des Français. Ainsi elle participa très activement à des voyages en province après la loi de fin d'exil de 1950.
En tant qu'épouse puis veuve d'Henri d'Orléans, Isabelle d'Orléans et Bragance, la comtesse de Paris faisait usage des pleines armes de France (d’azur à trois fleurs de lis d’or), sans la brisure obligatoire pour les branches cadettes.
Elle se sépara de son mari et s'installa dans un hôtel particulier parisien, propriété de la famille d'Orléans, mais vivait le plus souvent possible dans le pavillon Montpensier d'Eu. Elle continua à œuvrer pour l'humanitaire en présidant de nombreux galas et présida le prix littéraire Hugues Capet.
Elle a publié ses mémoires dans les années 70, des biographies comme celle de Blanche de Castille ou encore Mon bonheur d'être grand-mère (1995) ou L'Album de ma vie (2002).